D. Fernando, Infante Santo

Septembre 1402 (Santarém, Portugal) – Juin 1443 (Fez, Maroc)

La chambre Master Dom Fernando, Infante Santo offre un espace généreux de 35 m2 pouvant accueillir jusqu’à deux personnes. Baignée dans des tons chauds de brun, beige, orangé et vert, la chambre affiche une atmosphère confortable mais sophistiquée. Un miroir rond distinctif au-dessus du lit jumeau et un lustre remarquable ajoutent une touche de caractère, tandis qu’une kitchenette offre une commodité pratique.

La salle de bain est lumineuse et spacieuse, avec deux lavabos dans des tons beige doux, alliant confort et fonctionnalité. Les clients bénéficient également d’équipements modernes qui comprennent une machine à café Delta, un mini-bar, un téléviseur, une connexion Wi-Fi gratuite, la climatisation, un sèche-cheveux et un coffre-fort. Du café Nespresso et des bouteilles d’eau sont disponibles tout au long du séjour.

Découvrez nos autres chambres dans la catégorie Chambre Master :

D. Fernando, Infante Santo - Torel Palace Lisbon
D. Fernando, Infante Santo - Torel Palace Lisbon
D. Fernando, Infante Santo - Torel Palace Lisbon
D. Fernando, Infante Santo - Torel Palace Lisbon

En hommage à...

Ferdinand, le Saint Infant

D. Fernando, Infante Santo - Torel Palace Lisbon

Ferdinand, fils du roi Jean I du Portugal et de D. Philippa de Lencastre, est Maître de la Maison d’Aviz et le plus jeune membre de l’Ínclita Geração (la Génération Illustre).

En 1437, Ferdinand dirige et prend part à l’expédition à Tanger au Maroc, qui échoue en raison d’une mauvaise organisation et d’un manque de préparation du côté portugais, connue sous le nom « désastre de Tanger ». Ferdinand est pris en otage par les Maures et fini par mourir en captivité en 1443. Au vu de toutes les souffrances et mauvais traitements qu’il a endurés, et de son sacrifice au nom des intérêts nationaux, il mérite le surnom « Infante Santo » (Saint Infant).

Il y a eu divers débats sur la raison pour laquelle les Portugais n’ont pas été plus agressifs dans le sauvetage de Ferdinand, mais la vérité, c’est que même lui préférait être pris en otage et mourir plutôt que de renoncer à Ceuta pour retrouver sa liberté.